Management participatif

De Niska/Accolades

Le management participatif est un mode de gestion qui consiste à susciter l’engagement et la prise d’initiative des équipes de travail, en les responsabilisant et en les intégrant dans la vie quotidienne de l’entreprise, et surtout lors de la prise des décisions.[1]

Les 5 principes fondamentaux du management participatif[1]

Mobiliser le personnel

Sans toutefois l’imposer, le management participatif encourage l’implication du personnel dans le processus de décision

Mettre en place une politique de développement personnel

Le management participatif s’appuie sur un développement de la communication au sein de l’entreprise et sur la mise en place de conditions de travail  favorables.

Déléguer du pouvoir

Une partie du pouvoir de l’équipe dirigeante (chef d’entreprise et encadrement) est déléguée aux employés. Cette délégation, nécessaire au fonctionnement du management participatif est progressive, elle se base sur deux principes :

  • la subsidiarité, selon laquelle chaque membre de l’équipe est habilité à prendre une décision à son niveau, sans l’intervention du niveau supérieur. L’ensemble de ces décisions sera communiqué à la direction, qui l’intégrera dans ses décisions. Ce qui est autorisé à être décidé à un échelon inférieur, ne doit pas l’être par l’échelon supérieur.
  • le respect de la stratégie d’entreprise, qui incite l’ensemble des décisions prises à participer à la mise en œuvre de la stratégie de l’entreprise.

Confier la résolution des problèmes aux équipes concernées

Le management participatif rend autonome les équipes en les laissant solutionner les problèmes à leur échelon. Lorsqu’un problème surgit, les collaborateurs ne consultent la direction que s’ils n’ont pas trouvé de solution adaptée.

Le management participatif requiert cinq qualités

  1. Le sens de l'écoute
  2. La communication
  3. Le respect de l'autre
  4. Le dialogue
  5. La délégation

Sources